En 2009 déjà, 90% des français voulaient plus d’information sur le tourisme responsable (étude TNS-SOFRES). Nous sommes dans la tendance pour consommer autrement ; voyager autrement, ou “mieux” voyager débarque donc sur le tapis. Quand on sait l’enjeu porté par le tourisme, on ne peut que s’en réjouir.
Aujourd’hui, l’attente des voyageurs est toujours aussi forte, la demande pour un tourisme responsable croissante, l’information un peu plus disponible. Mais l’ensemble reste touffu, et les idées reçues difficiles à distancer (coût élevé, confort rudimentaire…).

La responsabilité citoyenne :

Les bouteilles en plastique à la poubelleQuand vous partez en vacances, à 100km de chez vous ou sur d’autres continents :

  • vous ne jetez pas vos ordures ailleurs que dans une poubelle ?
  • vous privilégiez les transports locaux ?
  • si l’hôtel vous le propose, vous ne lavez pas vos draps et serviettes tous les jours ?
  • vous achetez des produits locaux, faites vivre l’artisanat local ?
  • vous cherchez à maximiser les rencontres avec les populations locales, leurs coutumes, leur culture ?

Vous répondez “oui” à l’une de ces questions ? Vous êtes déjà un voyageur responsable ! Facile non ?

Au delà du bon sens, les modes communément identifiés pour voyager responsable :

De là à partir faire de l’éco-volontariat en Équateur, il y a une palette de (bonnes) pratiques et de modes de voyages, alternatifs ou non, que l’on peut pratiquer en tant que citoyen responsable. Voici un bref éclairage des noms que l’on entend souvent dans les conversations (définitions notamment fournies par voyageons-autrement.com) :

  • l’éco-tourisme : “forme de voyage responsable dans les espaces naturels qui contribue à la protection de l’environnement et au bien-être des populations locales”.
  • le tourisme participatif : “tourisme qui fait participer la population d’accueil aux activités touristiques ou qui fait participer les visiteurs à la vie locale du territoire visité”. 
  • le tourisme équitable et solidaire (inclus l’éco-volontariat) : “représente une aide au développement local des territoires d’accueil (réinvestissement des bénéfices tirés dans des actions maîtrisées par les communautés d’accueil)”.
  • le wwoofing ou autre forme d’échange travail contre gîte et couvert ; une belle façon de maximiser la rencontre et de s’insérer dans le tissu local.

En bref, on fait quoi ?

Et bien on fait comme chez nous !

Gros plan sur TWAM et Hopineo :

Travel With A MissionTWAM, c’est la mise en relation de voyageurs qui ont un talent, une expérience, un message à partager (les Twamers) avec des hôtes qui ont un public à offrir (les Twamhosts).
Résultat : vous partager 1 à 3h avec des enfants dans des écoles, des étudiants à l’université ou des malades dans un hôpital autour d’un sujet qui vous tient à coeur.
Les voyages HopineoAvec HOPINEO, vous constatez une bonne pratique en matière de tourisme durable, vous prenez une photo et la mettez en ligne sur hopineo.org, qui servira à de nombreux professionnels du tourisme.
En 10 minutes, vous contribuez activement à la responsabilisation du secteur, et donc à monde meilleur.

Plus d’info :

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